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ORMUS

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Les ORMES - Introduction

Par Winterlånd

 

Le site Winterlånd assume son ouverture d'esprit quant aux assertions pouvant être trouvées sur l'ORMUS. Si les Ormes ne bénéficient d'aucune reconnaissance du milieu scientifique, leur histoire méconnue et insolite mérite de s'y attarder.


Winterlånd propose son expérience dans ce domaine d'exploration excitant qu'est l'ORMUS. Toutes les méthodes de préparation sont mises gratuitement à la disposition du lecteur, afin que chacun puisse en faire l'expérience depuis chez lui moyennant curiosité et travail pour l'assimilation de cette technique.


Dans les années 1970 le champ de recherche sur l'ORMUS fut soutenu activement par David Hudson, un riche fermier américain. Depuis sa mort les recherches autour de l'ORMUS fonctionnent essentiellement de manière empirique. Les améliorations et découvertes découlant des efforts d'amateurs répartis partout dans le monde. De nombreux groupes de discussion et ateliers dédiés à l'ORMUS travaillent pour une popularisation de cette substance.


L'acronyme ORMES signifie littéralement "Orbitally Rearranged Monoatomic Elements". Le terme latinisé "Ormus" quant à lui, est le nom générique employé pour toute préparation contenant ces éléments. Les préparations Ormus sont élaborées à partir d'or. D'autres sont préparées à partir du cuivre. Une autre méthode d'extraction, la plus appliquée, est ce que l'on nomme la méthode "humide" préparé à partir de sel de mer brut. Celui-ci contenant naturellement un large spectre de minéraux. Le résultat de cette préparation détaillée ici est un précipté d'éléments minéraux très concentrés. Dans le jargon Ormus, on parle de minéraux à l'Etat-M.

Plusieurs théories existent sur la nature exacte de ce précipité minéral. Que nos lecteurs auront le loisir de chercher sur la toile. Nous nous attarderons plus sur les effets pratiques de l'ormus notamment dans le domaine de l'agriculture. Ce produit étant basé sur un mélange innofensif de sel et de potasse, il ne présente pas de danger ou de contre-indication.









Histoire d'une découverte
Par Roger Taylor. Traductions de l'anglais par Julien Frère


L’histoire débute à Phoenix (Arizona) en 1976. Un certain David Hudson, riche agriculteur cotonnier possédant des dizaines de milliers d’acres de terre est le principal acteur de cette découverte.
En Arizona, le sol est particulièrement riche en Sodium et doit subir un traitement à l’acide sulfurique afin d'être rendu exploitable. Ainsi, le mélange eau et acide peu à peu brise la croute alcaline, puis on y ajoute du carbonate de Calcium et on obtient enfin un sol propre à la culture en quelques années. Soumise à de tels traitements, la terre sèche s’est mise à produire une intense lueur blanche, aprés de fortes pluies, par la suite cet « or blanc » disparaissait totalement, puis revenait cycliquement aprés un orage.

Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder des propriétés rares et renfermer des métaux précieux, Hudson entreprend un jour d’en commander l’analyse quantitative complète. A la stupéfaction des laborantins, une partie des éléments défient les analyses puisqu'ils ne présentent aucune caractéristique métallique. aucune réaction chimique ou signature spectroscopique.


Disposant de moyens financiers considérables Hudson décide de pousser plus loin les investigations et engage des chimistes pour résoudre cette énigme. Les résultats détaillés figurent dans les 22 brevets qu’il déposera (ici).

. Les tests révélèrent notamment que les ORMEs changent de poids et d’aspect en fonction des températures auxquelles ils sont soumis. Les expériences furent répétées par plusieurs laboratoires avec les mêmes résultats. Les conclusions furent que les ORMEs ont des attributs de supraconductivité (même la lumière peut être transmise par eux). Le brevet de Hudson contient une carte analytiquequi illustre ces effets. Hudson donne ensuite de nombreuses conférences publiques.

Les allégations de Hudson sont très audacieuses, et espérant leur trouver une validation théorique, j’ai tardé à écrire à leur sujet. Bien qu’aucune recherche universitaire ne semble être en cours, un groupe informel de scientifiques et de profanes planchent sur la question depuis quelques années. Sans aucun financement ni soutien des institutions publiques et sans le moindre lien avec Hudson, ce groupe a réussi à reproduire certains de ses résultats. Leurs travaux sont présentés dans les articles que Barry Carter, l'un des principaux spécialistes actuels de l'ORMUS, publie sur un site Web très complet abordant les divers aspects chimiques et physiques de ces matériaux ainsi que les méthodes d’extraction et d’analyse.











Des noix comme des mandarines


Si il est difficile d’obtenir des données scientifiques sur la santé humaine, celles issues des expériences sur les plantes sont incontestables.


En agriculture, la préparation la plus courante, mais aussi la plus simple et la moins chère, consiste en un concentré ordinaire obtenu à partir de l’eau de mer. L’intérêt des produits de la mer, en particulier celui des algues, est connu en agriculture depuis bien plus longtemps que l’ORMUS. Maynard Murray a rassemblé de nombreuses données sur la santé d’animaux nourris de grains cultivés sur des terres traitées à l’eau de mer.




ormusnoyer




Selon les cultures, dix à cinquante litres de concentré par hectare suffisent. Les résultats obtenus de cette façon dépassent largement ceux de l’eau de mer, comme en témoignent les photos (ci-dessus).
On a constaté qu’un noyer traité pendant plusieurs années avait atteint deux fois la taille des autres et produit six fois plus de noix ; quant aux noix elles-mêmes, elles sont grosses comme des mandarines !



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Un prunier a produit, dès la première année de traitement, des fruits deux fois plus lourds que ceux de l’arbre témoin ; et après deux ans, ce poids a été multiplié par cinq. On voit, sur une photo, un agriculteur juché sur un escabeau pour atteindre ses plants de maïs de 3,60 m de haut.


Citons également ces oranges de la taille de petits melons. On sait également que les plantes traitées aux ORMUS sont non seulement plus productives mais qu’elles arrivent plus tôt à maturité, nécessitent moins d’engrais et résistent mieux aux parasites. En plus, les fruits ont meilleur goût ! J’ai moi-même expérimenté les ORMUS sur les pommes de terre. Sur quatre rangs de deux espèces différentes, deux ont été traités et les deux autres ont simplement reçu l’équivalent en eau. Résultat : 14 kg pour les témoins, 26 kg pour les plants traités. J’ai aussi obtenu des carottes de plus de 450 grammes.



On a régulièrement observé que les productions augmentent encore la deuxième année et les suivantes, après le traitement. Cela est probablement dû à ce que l’ORMUS enrichit la teneur du sol en minéraux.



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La fin de la désertification


La croissance démographique est inexorable et, en même temps, la surface de sol arable est limitée et déjà en grande partie cultivée. S’il était possible ne fut-ce que de doubler la production grâce à cette préparation bon marché à partir de l’eau de mer, la menace de famine ferait place à l’abondance. Leur forte concentration dans l’eau de mer laisse supposer qu’au fil du temps, ils y ont été entraînés par le ruissellement. Cela pourrait expliquer la désertification croissante d’une bonne partie des surfaces terrestres. Le phénomène pourrait être endigué en traitant à l’ORMUS de vastes étendues de terrain, par exemple par des arrosages aériens, surtout sur les forêts. En outre, pour remplacer les combustibles fossiles, on pourrait augmenter également, sur des surfaces plus réduites, la croissance des plantes productrices de biocarburants.

A suivre !









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